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Après ce délicieux baiser qui me fit tant d’effet, Ludivine s’accroupit entre les jambes d’Élodie, écarta ses cheveux pour dégager sa poitrine et embrasser délicatement ses tétons durcis par l’excitation. Elle les titilla ensuite du bout de la langue avant de les pomper comme un nouveau-né affamé. Ma chérie s’abandonnait à ce doux plaisir en poussant de délicieux petits cris qui avaient le don de nous exciter plus encore si cela était possible.
Après quelques moments, ivre de plaisir, ma belle interrompit sa partenaire en l’embrassant goulûment. Ensuite, elle l’invita à redresser son buste pour lui carresser sensuellement la poitrine et la couvrir à son tour de ses attentions buccales.
Antoine et moi ne perdions rien de cette scène tendre à souhait et avions vraiment hâte de découvrir le superbe petit derrière de Ludivine qui était encore trop largement couvert de cette fine étoffe blanche. Nous suggérâmes à Élodie de s’occuper un peu du merveilleux fessier de son amie. Elle se prêta au jeu mais ne dévoila pas tout de suite l’objet de notre convoitise !
Elle commença par glisser ses mains sous la « jupette » de son amie, puis par découvir un morceau de fesse avant d’enfin la trousser et nous dévoiler ce joli petit derrière sympathique que nous rêvions de croquer.
Sans s’occuper davantage du vêtement de sa partenaire, ma chérie glissa tendrement sa main sur le bas ventre de son amie jusqu’à son entrejambe qu’elle commença à masser sensuellement.
A son tour, Ludivine poussait de délicieux petits cris de plaisir qui nous excitaient eux aussi de plus belle.
Antoine et moi approchâmes des deux jeunes femmes pour ne rien perdre de ce spectacle incroyable. Notre brunette préférée gémissait en se mordillant les lèvres de bonheur pendant que sa main se faufilait dans les cheveux d’Élodie pour qu’elle ne l’abandonne pas en si bonne voie.
Après avoir ressenti un tendre frisson que nous pûmes voir se propager le long de son dos. Elle invita alors ma chérie à la laisser reprendre ses esprits en lui suggérant de se blottir confortablement dans le divan tout en gardant ses jambes bien écartées. Elle détacha son cache-sexe de coton blanc et commença à la caresser sensuellement du visage aux genoux en passant de plus en plus prêt de son pubis !
Lorsqu’elle jugea ma belle à point elle remonta ses mains le long de l’intérieur des cuisses de celle-ci qui frissonnait de bonheur. Elle massa tendrement son mont de Vénus avant d’entreprendre un extraordinaire doigtage sous nos yeux ébahis !
Antoine et moi n’en pouvions plus, nous mourrions d’envie de cajoler ce petit derrière merveilleux qui se dandinait à la lumière tamisée des bougies.
Pendant qu’elle continuait de s’occuper de ma chérie, Antoine et moi avons alors entrepris de conquérir chacun une de ces fesses. Nous les cajolions, les couvrions de bisous, les carressions sensuellement, …
Ludivine se pencha encore plus en avant pour offrir à Élodie un cunni torride à souhait qui fit exploser ma chérie de bonheur en quelques secondes à peine. Notre brunette la maintint dans cet état délicieux le plus longtemps possible avant de relâcher son étreinte et d’embrasser tendrement sa partenaire qui, tout en reprenant son souffle, repartit à la conquête de l’entrejambe de notre Ludi pour lui offrir un doigtage incroyable tandis que sa bouche s’occupait de ses seins. Antoine et moi couvrions toujours son petit derrière de toutes nos attentions.
Notre brunette atteint alors elle aussi une merveilleuse extase qui la fit se cabrer de bonheur en poussant un merveilleux cris de plaisir mais nos belles en voulaient davantage …
A peine Ludivine eut-elle repris son souffle qu’elle invita ma belle à se redresser puis à se tourner pour s’accroupir sur le sofa en nous présentant leurs délicieux petits derrières.
Élodie se trouvait devant Antoine et Ludivine était devant moi. Nous nous sommes regardés afin d’obtenir l’assentiment l’un de l’autre puis nous sommes approchés doucement de nos partenaires. Nous les avons calinées un petit peu afin de bien nous assurer qu’elles approuvaient cet échange avant de nous enfoncer au plus profond de leur chaire alors qu’elle se tenaient tendrement la main.
Antoine et moi étions surexcités. Nous nous interrompions régulièrement pour laisser retomber un peu la pression qui montait en flèche dans nos membres fièrement dressés. À peine nous étions nous retirés que les filles en redemandaient de plus belle ! Elles nous adressaient des mots d’autant plus crus qu’ils n’étaient pas destinés à leur amoureux mais à leur amant d’un soir !
Sous leurs encouragements et leurs cris de bonheur nous avons alors commencé à les pilonner avec nos verges palpitantes jusqu’à emplir leurs entrejambes de notre généreuse semence qui sembla enfin soulager leur soif de sexe pour ce soir !