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Salut. Je vais vous raconter une anecdote qui m’est arrivée il y a quelques années. Mon père est médecin et il avait une secrétaire dans son cabinet de consultation qui me faisait craquer.

 

Je venais d’avoir dix-neuf ans et, lorsque je n’étais pas en train de m’amuser avec mes potes, j’allais visiter mon père dans son cabinet de consultation car lui et ma mère sont séparés depuis longtemps déjà.

 

Je me doutais bien que cette secrétaire était la pute à mon père mais je ne les avais jamais surpris dans l’acte.

Moi et mon père sommes très unis mais je n’osais pas lui demander si cette fille petite et mince, qui s’habillait avec des tenues moulantes à faire craquer, était sa petite-amie ou non.

  

En tout cas, je savais bien qu’il ne choisirait jamais une fille de mon âge pour sortir officiellement avec elle, donc je me doutais que, si quelque chose se passait entre eux, c’était un secret.

  

Ce jour-là, le jour de l’anecdote que je veux vous raconter, j’étais sorti en avance de la fac et je voulais passer visiter mon père.

  

Je pris la voiture qu’il m’avait achetée depuis peu pour lui faire plaisir. Je voulais l’inviter à boire un verre pour lui raconter ma dernière aventure avec une meuf, mon actuelle copine.

  

Je suis arrivé au cabinet de consultation et il était fermé mais il y avait toujours de la lumière. C’était fermé à verrou et j’ai utilisé mes clés pour ouvrir la porte d’entrée.

  

Je m’attendais à trouver mon père seul, en train de préparer ses affaires ou de parler au téléphone avec l’un de ses collègues (ces appels interminables que j’ai toujours détesté) mais ce ne fut pas le cas.

  

J’ai entendu des gémissements en entrant et j’ai tout de suite compris ce qui se passait. J’ai franchi le petit hall d’entrée pour m’arrêter devant la porte entrouverte du cabinet.

  

Le cabinet était grand et je me suis rendu compte que les gémissements venaient des toilettes, elles aussi ouvertes.

  

Les toilettes étaient à l’autre bout du cabinet et j’ai du pousser la porte pour pouvoir m’approcher.

  

Je reconnaissais la voix de la secrétaire de mon père, et ses gémissements me firent bander à l’instant. Je n’avais pas besoin de les épier pour comprendre ce qui se passait.

  

Soudain, à travers la porte des toilettes j’ai vu mon père de face mais je ne voyais pas son visage.

  

Une jambe renversée s’appuyait sur son épaule droite et un talon aiguille s’agitait frénétiquement à chaque fois que mon père bougeait.

  

Je n’en crus pas mes yeux quand je compris qu’il la niquait sur le lavabo.

  

J’imaginais la petite toute entortillée, les fesses appuyées sur le lavabo et la chatte complètement ouverte après une bonne séance de va-et-vient car mon père et moi avons de grosses bites.

  

Je bandais comme un fou et, pendant un court instant j’éprouvai une folle envie de m’approcher et de baiser la salope à deux.

  

J’étais sûr qu’elle accepterait ou au moins n’aurait pas eu le courage de refuser vu que mon père était son employeur.

  

Je sais que ça peut vous choquer mais je vous raconte exactement ce que je ressentais et pensais sans aucune censure.

  

Finalement j’ai fait demi-tour et je suis parti sans rien dire mais quand je suis rentré chez-moi je me suis branlé en imaginant que je baisais la secrétaire pendant que mon père se faisait sucer.