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Il pleut dehors. Je me prépare un seau de café pour regarder mon émission préférée à la télé. Je pense à mes collègues de boulot, que j’ai quittés la semaine passée.

  

Je ne travaillerais plus avec eux. Je pense surtout à Didier, qui plaisantait tout le temps avec moi.

  

Didier va sûrement m’appeler un de ces jours pour m’inviter à boire un verre quelque part. C’est tellement prévisible, les garçons, que je sais déjà comment je vais m’habiller, le cas échéant.

  

D’une main je tiens la tasse de café, tandis que l’autre je la glisse entre mes cuisses pour me réchauffer.

  

L’émission est constamment coupée par une publicité très ennuyeuse et il est très difficile pour moi de suivre la trame.

  

Didier revient constamment dans mes pensées. Pourquoi je pense à lui comme ça, depuis que je ne travaille plus dans son bureau ?

  

Ma main libre devient soudain moite et je touche un fluide chaud qui parvient à traverser le tissu de ma culotte.

  

Je croise les jambes pour ignorer cette réaction naturelle mais très importune. Je m’emmitoufle encore plus sous une grosse couverture de laine, assise sur le canapé.

  

Chaque gorgée de café me rappelle les journées de pluie au bureau…avec Didier. Son entrejambe que j’aimais mater depuis mon siège, lorsqu’il se levait pour la pause dîner.

  

Il se levait après de longues heures de travail et j’apercevais avec plaisir l’effet de l’engourdissement sur ses génitaux.

  

Il avait des semi-érections visibles pour une voyeuse expérimentée.

  

Je craquais après l’avoir vu bander comme ça. Je me demandais de quoi rêvait-il, ce qui le rendait fou, je me demandais s’il se branlait souvent ou non, s’il fantasmait sur moi.

  

Ces quelques minutes de réflexion coquine suffirent à me mettre dans tous mes états. J’ai la culotte vraiment trempée et mon sexe en feu.

  

Je tire sur ma culotte pour caresser mes lèvres, toutes gonflées de sang. Elles sont bombées, sensibles et me transmettent des sensations délicieuses à chaque fois que je les touche.

  

Didier aurait bien aimé les toucher, passer sa langue dessus, s’attarder à mordiller leurs contours sinueux et pleins de replis de peau.

  

Lui et son sexe, lui et son physique costaud, lui et son regard pénétrant. Je ne pourrais pas oublier ce bâtard, tant que je n’aurai pas couché avec lui.

  

J’introduis mon doigt majeur dans mon vagin humide. C’est serré, oui c’est serré après sept mois d’abstinence volontaire.

  

Je me demande pourquoi je suis réticente aux plaisirs sans lendemain, j’aurais bien pu coucher avec Didier, comme sa secrétaire, une vraie pute celle-là.

  

Moi, je suis différente, je ne couche pas pour satisfaire mes envies de sexe. Je fais l’amour quand un mec m’intéresse, quand il me provoque ce creux à l’estomac que seul le coup de foudre peut provoquer.

  

Pendant que je pense à tout ça, mes doigts caressent ma vulve, très doucement, sans négliger aucun recoin, sans épargner aucun point érogène.

  

Quel plaisir, mon Dieu, j’oublie soudain la pluie, l’émission à la télé, j’oublie tout.

  

Je ne fais que me procurer du plaisir en doigtant mon vagin le plus profondément possible avec des allers-retours doux et cadencés.

  

J’ai des frissons pendant que mes doigts s’enfoncent à l’intérieur de ma foune de plus en plus dilatée qui dégage une chaleur très forte.

  

Tout à coup, entre râles et gémissements je réalise une chose extraordinaire, un sentiment qui a changé le cours de ma vie : Je suis amoureuse de Didier.

  

Je me rends compte aussi que j’ai quitté l’entreprise parce que je ne pouvais plus le voir comme ça, flirtant avec tout ce qui porte jupon.

  

Complètement hors de moi, je m’efforce de fixer son visage dans mes pensées, pendant que j’atteins un orgasme fou et puissant, qui me secoue dans tous les sens, sur le canapé.

  

Après cette tornade de sensations, je ramasse les coussins tombés au sol et j’éteins la télé pour m’endormir.


Sam 14 nov 2009 Aucun commentaire